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 What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S.

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B. Yseult Silverstein

G r y f f i n d o r
Brave & Strong

B. Yseult Silverstein
Loisirs : Courir, voller sur mon balais...


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MessageSujet: What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S.   What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S. Icon_minitimeMar 20 Avr - 4:16

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J’avançais lentement, un pied devant l’autre pour ne pas tomber. Je marchais sur des pierres suspendues dans le vide les bras à la hauteur des épaules pour me donner un peu d’équilibre. Au loin je voyais l’horizon, des nuages en bas & des montagnes en haut. À côté de moi, volant en tournant autour des pierres qui m’empêchaient de tomber, se trouvait un géant canard tout rose. Tout cela me semblait tout à fait normal & j’avançais le sourire aux lèvres. Soudainement, je me mis à balancer de gauche à droite comme je m’arrêtais pour trouver quelque chose à quoi m’accrocher. Soudainement, mon joli petit ami le canard explosa & de ses morceaux sorti un corbeau géant. Je tombais dans l’infini du ciel qui se trouvais sous moi & qui s’ennuagea. Plus je tombais, plus les nuages semblaient épais. J’en voyais un en particulier qui me semblais tout simplement à l’état solide & qui venait de plus en plus rapidement. Alors que j’allais m’écraser dessus, je reçu un jet d’eau au visage & me relevai en sursaut. « C’est pas possible Silver ! Un peu plus & je te jetais par la fenêtre pour te réveiller. Kathy pensait même que tu étais morte ! » Je regardais fixement le mur de pierre devant moi, encore entre rêve & réalité ; je pris quelques secondes à revenir à moi. Je sorti de la lune lorsqu’une de mes colocataires de chambre se mit dans mon champ de vision. Je pris conscience du liquide transparent qui glissait sur mon visage, m’emparant d’un coin de mes draps pour m’essuyer un peu. « Heurk ! Qui a eu la brillante idée de me noyer ? » dis-je en sentant une douleur dans mes sinus, comme lorsqu’on aspire de l’eau lorsqu’on se beigne. De ma main droite, je relevai une mèche de cheveux qui me tombait sur le visage & je me tournai vers mes partenaires de chambre. « Tu t’agitais dans ton lit & tu marmonnais on ne sait quoi... On était inquiètes ! » Je levai un sourcil & regardai l’état de mes draps ; d’accord, c’était un désastre. Je mis une main sur mon front qui était bouillant. Je m’informai de l’heure, il était encore tôt. Je décidai d’aller courir avant d’aller en cours ; mais d’abord une douche pour faire baisser un peu ma température corporelle. « Mmm... Merci, allez vous recoucher. » Dis-je aux sorcières qui me regardaient d’un drôle d’air. Je repoussai mes draps trempés par le verre d’eau qu’on m’avait versé & mit mes pieds sur le sol froid du château. Je prit au hasard de quoi m’habiller dans ma valise ouverte au pied de mon lit & me dirigeai vers la salle de bain, les pieds trainants, la main dans les cheveux, mes yeux réussissant difficilement à rester ouvert encore. N’étant pas de nature très délicate - ou dit autrement ; plutôt maladroite - je claquai la lourde porte de bois en m’enfermant dans la petite salle. Après m’être dévêtue de mon pyjama rouge foncé, j’allumai la douche à température beaucoup plus froide que chaude, passant mon visage sous le jet. J’eu d’abord un gros frisson & je senti tous mes muscles se contracter, mais au bout de quelques secondes ma peau s’habitua à la fraîcheur. Je restai ainsi quelques minutes, voyant quand même des marbrures se former sur ma peau ; peut-être suis-je un peu masochiste. Finalement, j’augmentai la température à bon niveau. J’allais commencer à me laver lorsque je senti ma peau picoter ; la sensation de deux températures extrêmes comme ça est désagréable. Je dû attendre encore quelques minutes pour que mon corps s’adapte au changement, puis je me lavai en vitesse.

J’enfilai un survêtement gris, des chaussures de sport, un haut sans manche & une veste de toile. Je relevai mes cheveux en queue de cheval basse puis je quittai le dortoir sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller mes partenaires de chambre. Rendu dans la salle commune, je la trouvai pratiquement vide, il y avait une cinquième année endormie à une table, le nez dans un livre de je ne sais quelle matière. Je lâchai un petit rire étouffé puis fit quelques pas vers mon chat qui s’étirait comme les chats savent si bien le faire. Je m’accroupi devant ma petite Déméter qui me souhaitait le bon matin, la flattai un peu puis me dirigeai vers le portrait de la grosse dame. Ma petite chatte noire profita de l’occasion pour sortir elle aussi. « Oh encore toi ! Tu ne peux donc pas me laisser dormir le matin ? » dit la vieille dame qui me chantait tous les jours la même chanson. Je lui fit un sourire moqueur & lui lançai ; « L’avenir appartient aux gens qui se lèvent tôt ! » Du tac au tac elle me répondit ; « Petite fêtarde comme tu es, tu dois dormir dans tes cours à force de ne pas dormir ; quel avenir ça donne ça... » Je fronçai les sourcils vers le portrait, en en entendant d’autres autour glousser de sa réponse. « Vous ne pouvez pas seulement faire votre rôle de portrait, car que je sache c’est à ça que se résume votre avenir... » Elle me regarda d’un air autant surprit de ma réplique, en colère & triste ; puis elle me tourna le dos en quittant le portrait. « Vous êtes impolie jeune demoiselle. » Me dit un homme dans un portrait de campagne sur la droite. « Elle l’a bien cherché ! » dis-je en tournant les talons vers les escaliers mouvants, plus à moi-même qu’à qui veut l’entendre.

Je courrai pendant deux bonnes heures, longeant la lisière de la forêt, rencontrant au passage le garde-chasse qui s’était habitué après sept ans à me voir si matinale pratiquement tous les matins. Je passai ensuite près du stade de quidditch, puis sur la berge du lac. Les arbres étaient colorés, l’automne faisant bien acte de présence. Je sentais le vent souffler ma frange, qui échappait à mon attache à cheveux, claquer contre ma joue ou s’envoler au-dessus de ma tête dépendant de la direction où j’allais. Mes pieds finirent par prendre la direction des grosses portes du château. J’aime bien la sensation que j’ai lorsque je viens de terminer de courir ; je suis exténuée, mais tellement détendue légère & à la fois. J’allais me diriger vers ma salle commune pour reprendre une douche rapide avant d’aller en cours lorsque je commençai à croiser des élèves. Poudlard s’était réveillé pendant que j’étais dehors. Alors que je tournai le coin d’un couloir du cinquième étage pour rejoindre les escaliers, je remarquai deux élèves qui dialoguaient beaucoup plus activement qu’une conversation de niveau amical. Je reconnaissait une pouffsoufle, petite soeur d’un garçon de ma maison, de mon année, Simon Villeneuve ; elle par contre je ne sais pas son prénom. L’autre personne était un élève de Hannorth, l’école américaine de sorcellerie que nous hébergeons, puisque leur école est en mauvais état. Normalement je serais passée sans m’en mêler, mais la course m’a mit dans un bon état d’esprit & je me sens l’âme modératrice. Je franchi les quelques pas qui me séparait du duo enflammé & me plaçai entre les deux sans rien dire ; présentant mes épaules aux deux élèves qui avaient monté le ton le temps que je les approche. « Dites donc, quelle douce journée ! Je me sens comme disposée à me faire de nouveaux amis avec ce beau soleil & toutes ces couleurs qui tapissent le panoramique du paysage ; pas vous ? » Je tournai ma tête tour à tour vers les deux gamins, faisant un pas dans la direction où j’allais avant de m’arrêter, puis je me tournai de nouveau vers eux, qui avaient d’ailleurs été prit de mutisme depuis mon intervention. « Hey, tu es la petite soeur de Villeneuve n’est-ce pas ? » dis-je à la poufsouffle en passant mon bras autour de ses épaules, me tournant vers le garçon qui lui faisait face. « & Toi ? Ne trouves-tu pas les gens de Poudlard accueillant & charmant ? » Je patientai quelques secondes sans que l’un d’eux ne répondent. J’aime bien l’effet que ça fait d’être en dernière année ; on fait peur aux plus jeunes. « Non, sérieusement les enfants c’est quoi cette histoire ? » concluais-je. Je retirai ma main de sur la jeune sorcière, pour mettre les deux sur mes hanches en reculant d’un pas.
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Sophie Villeneuve

H u f f l e p u f f
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Sophie Villeneuve
Loisirs : Me promener autour du lac, la chaleur du Soleil dans le dos :)


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MessageSujet: Re: What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S.   What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S. Icon_minitimeMar 20 Avr - 21:00

Je regardais le plafond du dortoir des Poufsouffle de troisième année, toujours allongée sur mon lit. On aurait pu penser que je dormais, car ma poitrine se soulevait à intervalles réguliers ; seuls mes yeux qui étaient -à peu près- grands ouverts prouvaient le contraire. Je paraissais calme et bien reposée après une bonne nuit. Cependant, comme beaucoup d'autres fois avant, je m'étais réveillée très tôt, à cause de mes "coups de chauds" : je sentais mon corps chauffer soudainement, comme si je me trouvais en plein soleil à quatorze heures et au Sahara qui plus est. Il était donc environ quatre heure du matin, lorsque je m'étais réveillée en sueur ; mais je ne m'étais pas levée, j'avais préféré repousser ma couverture au fond du lit et rester étendue dans mon dortoir. Depuis mon heure de réveil, je patientais donc calmement dans mon lit, et mon corps -après une heure environ- commençait à se refroidir. Une légère brise caressait mon visage, car j'avais entrouvert la fenêtre la plus proche de mon lit. Cet air frais me calmait, mais pour peu de temps, car à force de courtes nuits, j'étais de plus en plus mal lunée le matin ; mon air serein s'évanouissait au moment où le château s'éveillait et que les élèves commençaient leur vacarme habituel dans les différents lieux de Poudlard.

Je me dis enfin qu'il était temps pour moi de me lever et ma tête ne pourrait plus me tourner puisque cela faisait une heure que je bullais dans mon dortoir. C'est ainsi que je me redressais lentement, et que je me penchais vers ma valise pour y saisir mes vêtements de la journée. Je décidais de porter un bluejean clair, de style "cigarette", avec une sorte de tunique large aux motifs bleus et verts ceinturée au niveau de la taille. En effet, je ne mis guère beaucoup de temps pour choisir mes habits, car j'y réfléchissais depuis déjà une demi-heure, au moins ; mon choix ne fut dont pas long. Je marchais ensuite à pas de loups dans la pièce, seulement éclairée par la lune dans le ciel étoilée. Je pris ma douche, à l'eau gelée, mais que je ressentais tout juste tiède -ce qui m'énerva légèrement. Après m'être détendue un moment sous la douche matinale, j'en sortais, et m'habillais. Les cours n'allaient pas commencer de suite, alors je décidais, une fois prête, que je n'enfilerais ma robe de sorcier que plus tard.

Je descendais à la salle commune, et m'installais avec un livre sur l'un des nombreux fauteuils ronds de la pièce. Je pus lire tranquillement, pendant un bon moment, mon livre emprunté plus tôt à la bibliothèque du château. Ce livre était un recueil de contes magiques, bien connus dans les familles de sorciers ; mais qui m'étaient bien entendu encore inconnus. J'aimais particulièrement un des contes, racontant l'histoire fascinante de trois frères. Malheureusement pour moi, le château commença à s'éveiller, et les premières lueurs du soleil traversaient joliment les nombreuses ouvertures de l'école. Mes camarades descendais les uns à la suite de autres de leurs dortoirs respectifs, me saluant plus ou moins chaleureusement. Malheureusement pour eux, je n'étais pas d'excellente humeur et je finis par quitter brutalement la pièce, ma robe noire de sorcier affichant l'écusson de ma maison sous le bras, délaissant au passage mon livre de contes, sous le regard interrogateur des autres Poufsouffle. Plus mes nuits se raccourcissaient, moins j'étais sociable, chaleureuse et aimable ; foutus coups de chauds !

Je déambulais dans les couloirs, à la recherche de plus de calme, et de moins de gens surtout, lorsque je fonçais par mégarde dans un autre élève. J'étais tellement à côté de la plaque, que je n'avais même pas remarqué le garçon d'Hannorth : cela dit, il m'avait l'air d'un stupide gamin pourrit-gâté sans aucun intérêt quelconque. Il me jeta un regard noir, que je lui rendis avec grand plaisir. En effet, ce garçon était un crétin. Je décidais de passer mon chemin, car il n'était jamais prudent de me provoquer, alors que mon humeur était déjà à la limite du médiocre. Cependant, le garçon m'adressa la parole, avant que je ne puisse aller trop loin: « À ce qu'il parait, Poufsouffle est la pire maison dans laquelle on puisse tomber, à Poudlard. On m'a raconté que les sorciers qui y étaient n'avait ni courage, ni intelligence, ni aucune qualité d'ailleurs. » Ni une ni deux, je fis marche arrière pour me planter devant le sorcier d'Hannorth. « Dis, tu veux pas retourner gentiment dans ta foutue école de magie, bien loin, aux Etats-Unis ? Ah, mais c'est vrai, tout est tombé en ruine, et du coup, on accueille la vermine comme toi ! » Je décrochais un sourire provocateur au sorcier, qui fronça les sourcils ; l'aurais-je froissé ? Ce serait vraiment trop bête... Je le vis porter lentement sa main à une "poche" de sa robe de sorcier, et je devinais qu'il projetais d'en sortir sa baguette magique.

Notre conversation, loin d'être amicale, s'envenima, en nous continuâmes de nous provoquer l'un et l'autre. Nos tons montèrent sans que nous nous en rendirent comptes, si bien que certains élèves se tournaient vers nous en passant. À ce moment-là, une jeune fille vînt à notre rencontre. Un moment, je crus que c'était une préfète, mais je fus rassurée en constatant que non. Ce que je savais, c'est qu'elle était de Poudlard, Gryffondor plus précisément, car elle avait déjà parlé plusieurs fois à mon frère aîné. Elle se plaça entre nous deux, et paraissait d'excellente humeur. Elle devait être en septième année, car elle avait de l'autorité sur les autres élèves, et paraissait parfaitement le savoir, d'où son intervention d'aujourd'hui. « Dites donc, quelle douce journée ! Je me sens comme disposée à me faire de nouveaux amis avec ce beau soleil & toutes ces couleurs qui tapissent le panoramique du paysage ; pas vous ? » Elle nous regarda l'un après l'autre, puis continua de nous adresser la parole, sans qu'aucun de nous deux ne réponde. Finalement, elle nous posa une dernière question: « Non, sérieusement les enfants c’est quoi cette histoire ? » Le garçon d'Hannorth se contenta de lui répondre vite fait, avant de partir en courant à moitié ; cet idiot savait qu'il n'était pas sage d'agir comme avec moi, avec une septième année. « Rien, juste un petit différent, c'est terminé. » La Gryffondor resta au même endroit, même une fois le garçon parti. Un silence s'installa, et comme je n'aimais guère ceci, je décidais de lâcher une phrase, même si elle n'était pas très intelligente. « Hum.. Merci d'être intervenue, je crois que ça aurait pu dégénérer... Enfin, merci. » Non, ça c'est sur, j'aurais pu trouver beaucoup mieux, mais je n'étais pas encore tout à fait assez bien réveiller pour dire des choses intelligentes.
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MessageSujet: Re: What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S.   What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S. Icon_minitimeDim 25 Avr - 23:03


Ce matin j’avais fait un rêve plutôt psychédélique, sûrement dû à la boite de chocolats dont je m’étais gavée la veille en y repensant. Mes camarades de chambre avaient réussies à me réveiller après plusieurs tentatives ; optant finalement pour un bon jet d’eau au visage. Après les avoir rassurées, j’avais prit une douche, pour faire baisser la température de mon corps, puis j’étais partie courir. Depuis mon plus jeune âge, dépenser ainsi mon énergie à parcourir des kilomètres & des kilomètres pour aller nul part avait été très libérateur. Se faisant, je ne pensais plus à tous les petits tracas de la vie & j’arrivais même à oublier les plus gros l’espace d’un instant. Je faisais ainsi passer ma rage, ma colère & ma peur ; il ne restait plus que moi, le sol sur lequel mes pieds frappaient & le décor majestueux de l’endroit où je me trouvais. Aujourd’hui, je courais pour oublier la sensation étrange que j’avais ressenti en me réveillant ; j’avais senti comme un vide au fond de moi, comme si ma cage thoracique s’était écrasée sur mes poumons & autres organes.

J’avais cours de potion ce matin. La veille - en mangeant des chocolats - j’avais dû faire un rapport de concoctions sur cinquante centimètres de parchemin, à propos de la potion que nous avions fait en cours la semaine dernière. Le problème est que je n’avais fait exploser mon chaudron, j’en avais chopé une copie pour incompétence - la joie - & je devais faire vingt centimètre de plus que les autres pour expliquer le pourquoi du comment j’ai pu faire un erreur dans un potion pourtant si simple. & Je ne pouvais pas dire que le Serdaigle à côté de moi n’avait pas arrêté de me narguer sur ses superbes compétences en magie en général ; il n’avait pas arrêté de se venter, de critiquer tous ce que je faisais pour ma potion & au final, en voulant prendre ma baguette pour lui fermer le clapet, j’avais envoyer une dose beaucoup trop élevée de venin de serpent - je ne sais plus quel d’ailleurs - dans ma potion. À mon plus grand bonheur, je me prit le pied dans ma patte de chaise en me levant, je fut projetée au sol & l’explosion alla directement au visage du Serdaigle qui faisait moins le fier. Miraculeusement, je n’eue pas de retenue ; Le professeur ne devait plus savoir quoi me faire faire. Bref, en plus de remettre ce devoir à la dernière minute, je m'aperçue que je manquais énormément de ressource & de contenu pour terminer mon travail. Le tout avait donné de la belle bouette qui ne voulait rien dire, mais c’est tout ce que je pouvais tirer de ma mémoire. Bref, c’est ce matin que je devais remettre ce bout de parchemin. Je devais rapidement montrer à ma salle commune pour me doucher & me changer si je ne voulais pas rater le petit déjeuner ; Mon ventre réclamait de bons croissants bien chauds.

Sur le chemin, j’avais rencontré un élève de Hannorth & une Poufsouffle en train de se chamailler. Après mon petit discours, le garçon ouvrit à peine la bouche pour lâcher quelques mots, puis prit la poudre d’escampette. Je voulu le retenir pour qu’il parte en meilleur terme avec la soeur de mon camarade de maison Simon Villeneuve, mais le pauvre avait l’air parti comme un loup la queue entre les pattes. Une fois qu’il fut parti, je restai en position, puis la jeune Poufsouffle brisa le silence qui s’était vite installé. « Hum.. Merci d'être intervenue, je crois que ça aurait pu dégénérer... Enfin, merci. » Alors que mon regard s’était posé sur le coin du couloir d’où s’était effacé le garçon de l’autre école, je me tournai pour faire face à la gamine. « Hum. Il n’y a pas de quoi. » Je plaçai mes mains dans les petites poches arrière de mon pantalon de sport, puis reprit la parole ; « Je ne me souvient pas comment ton frère m’as dit que tu te nommais... Moi c’est Yseult Silverstein. Mais tout le monde m’appelle généralement juste Silver. » Je sorti ma main droite de ma poche & la lui tendit fermement.


HJ: Je suis désolée, je n'ai pas pu faire plus long pour ce post, j'ai pas l'inspiration facile ce weekend. Mais je voulais tout de même ne pas trop tarder à te répondre alors je ferai mieux la prochain fois.
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MessageSujet: Re: What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S.   What is the matter, dudes ? FEAT. Sophie V. & Yseult S. Icon_minitime

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